Paris tremble
Page 1 sur 1
Paris tremble
Quand la Grosse Bertha terrorisait Paris
Pendant six mois, de mars à août 1918, les obus de la Grosse Bertha ont terrorisé Paris et ensanglanté ses rues et ses boulevards. Près de cent ans après la fin de la Première Guerre mondiale, son souvenir est encore dans les mémoires. Un traumatisme et un canon légendaire dont l'histoire est racontée avec précision et passion par Christophe Dutrône dans la riche monographie qu'il vient de lui consacrer*. Document après document, il nous invite à plonger dans l'atmosphère d'une ville insouciante et soudain assiégée.
Alors que le front se trouve à plus de 100 kilomètres, ce gigantesque canon allemand parvient à envoyer 320 projectiles sur la capitale et sa banlieue, provoquant la mort de 256 personnes et en blessant 625. La première fois que les Parisiens subissent le terrible feu de cette pièce d'artillerie révolutionnaire, la ville est comme frappée de stupeur. À 7h30 du matin le 23 mars 1918, une première explosion ravage le n° 6 quai de Seine. Une seconde déflagration retentit une dizaine de minutes plus tard devant la gare de l'Est, puis tous les quarts d'heure. «Les habitants de la capitale ne tardent pas à baptiser ce monstre “Grosse Bertha” du nom de Bertha Krupp, la fille de l'industriel allemand dont la firme a développé ce canon longue portée, prodige de technologie balistique digne de Jules Verne», explique Christophe Dutrône.
À 120 km de distance
voila une presentation rapide de "la GROSSE BERTHA"
pourquoi se tuto ?
dans mon village d'enfance il y a le reste de vestige d'une "GROSSE BERTHA" c'est juste pour vous faire connaitre se monstre qui fesai peur a PARIS qui es environ 130km de se village
voici se qu'il en reste aujourd'hui mais d'après les histoires pour le transport et démontage de se "monstre" un train de 1.5 km était nécessaire a son transport
"L'arme de conquête et destruction" comme l'appellait le GQG fut améliorée et six autres pièces de 38 cm et de 35 cm type SK-L/52 "Koenig Auguste" d'une portée considérablement augmentée furent conçues entre 1917 et 1918 et 'intercalées dans le dispositif existant..
Plus de 850 projectiles ont été tirés au total sur ces objectifs.
Le canon à très longue portée "Pariser Kanonen " / "Canon de Paris" construit en 1918, à partir de tubes provenant du canon SK-L/45 ne tira que sur la capitale. Au début du mois d'avril 1918 près d'un million de parisiens avaient quitté la capitale.
Pendant six mois, de mars à août 1918, les obus de la Grosse Bertha ont terrorisé Paris et ensanglanté ses rues et ses boulevards. Près de cent ans après la fin de la Première Guerre mondiale, son souvenir est encore dans les mémoires. Un traumatisme et un canon légendaire dont l'histoire est racontée avec précision et passion par Christophe Dutrône dans la riche monographie qu'il vient de lui consacrer*. Document après document, il nous invite à plonger dans l'atmosphère d'une ville insouciante et soudain assiégée.
Alors que le front se trouve à plus de 100 kilomètres, ce gigantesque canon allemand parvient à envoyer 320 projectiles sur la capitale et sa banlieue, provoquant la mort de 256 personnes et en blessant 625. La première fois que les Parisiens subissent le terrible feu de cette pièce d'artillerie révolutionnaire, la ville est comme frappée de stupeur. À 7h30 du matin le 23 mars 1918, une première explosion ravage le n° 6 quai de Seine. Une seconde déflagration retentit une dizaine de minutes plus tard devant la gare de l'Est, puis tous les quarts d'heure. «Les habitants de la capitale ne tardent pas à baptiser ce monstre “Grosse Bertha” du nom de Bertha Krupp, la fille de l'industriel allemand dont la firme a développé ce canon longue portée, prodige de technologie balistique digne de Jules Verne», explique Christophe Dutrône.
À 120 km de distance
En fait, cette nouvelle arme dissimulée dans les bois de Crépy-en-Laonnois, en Picardie, à environ 120 km de Paris, est composée de trois canons de marine que les Allemands appellent Pariser Kanonen. Une guerre d'usure entre l'artillerie française et allemande vient de commencer… À la fin du conflit, ces Pariser Kanonen furent détruits pour ne pas tomber entre les mains ennemies. Mais leur histoire va continuer dans l'immédiat après-guerre. L'enjeu? Percer le secret de ces canons capables d'atteindre des cibles à plus de 120 km de distance
voila une presentation rapide de "la GROSSE BERTHA"
pourquoi se tuto ?
dans mon village d'enfance il y a le reste de vestige d'une "GROSSE BERTHA" c'est juste pour vous faire connaitre se monstre qui fesai peur a PARIS qui es environ 130km de se village
voici se qu'il en reste aujourd'hui mais d'après les histoires pour le transport et démontage de se "monstre" un train de 1.5 km était nécessaire a son transport
Les canons à longue portée
Après les obusiers de gros calibres, utilisés en Août-Septembre 1914 contre les forts Belges et Lorrains, le G.Q.G allemand envisagea d'employer les pièces d'artillerie navales modifiées dans le but de perturber les opérations de ravitaillement et de démoraliser la population par des frappes derrière les lignes .
C'est ainsi qu'entre 1915 et 1916 dix canons à longue portée de 38 cm type SK-L/45 furent construits par les ingénieurs de Krupp et installés sur plate forme bétonnée ou ferroviaire le long du front, entre Dunkerque et Mulhouse
Emplacements Bois de Muzeray (55) Ferme de Sorel (55) Predikboom (Belgique) Santes (59) St Hilaire le Petit (51) Duzey(55) Hampont (57) Zillisheim (68) | Objectifs Verdun Verdun Dunkerque Béthune Compiègne Chalons /Marne St Menehould Verdun Nancy Belfort | Distance 25 000 m 21 000m 38 000m 34 000m 37 000m 34 000m 34 000m 30 000m 35 000m 35 000m | Canon 38 cm SK-LK/45 "Max" ou Lange Max monté sur plate forme bétonnée circulaire - Batterie côtière "Deutschland" à Bredene (Belgique) Der Weltkrieg im Bild Exécution d'un tir d'exercice d'un 38 cm. Max ou Lange Max - |
"L'arme de conquête et destruction" comme l'appellait le GQG fut améliorée et six autres pièces de 38 cm et de 35 cm type SK-L/52 "Koenig Auguste" d'une portée considérablement augmentée furent conçues entre 1917 et 1918 et 'intercalées dans le dispositif existant..
Emplacements Leugenboom (Belgique) Chuignes [url=http://rogau.chez.com/Grande Guerre en Lorraine/html/chuignes21.jpg]([/url]80) Bois du Châtelet (02) Heutregiville (51) Queant (62/ Sancourt (62) | Objectifs Dunkerque Amiens Meaux Chalons/Marne Doullens-St-Pol Doullens | Distance 44 000m 32 000m 43 000m 38 000m 46 000m 62 000m | Lange Max de Leughenboom (Belgique) Collection R Gautier Max installé à Chuignes (80) Collection R.Gautier |
Le canon à très longue portée "Pariser Kanonen " / "Canon de Paris" construit en 1918, à partir de tubes provenant du canon SK-L/45 ne tira que sur la capitale. Au début du mois d'avril 1918 près d'un million de parisiens avaient quitté la capitale.
Emplacements Crépy-en-Laonnois (02) Beaumont-en-Beine (02) Bruyères (02) | Objectifs Paris Paris Paris | Distance 121 000m 110 000m 91 000m | Le soi-disant démesuré et gigantesque canon, qui du secteur de Laon, bombarda Paris distant de 128 km. Il s'agit de l'assemblage d'un tube de 38 cm avec un de 21 cm (tubes emboutis) Pour éviter le repérage de la pièce par l'ennemi, toute la région fut recouverte d'un brouillard. De plus, de nombreuses autres pièces tiraient au même moment. |
Moins destructeurs que les "Bertha" mais dotés d'un impact psychologique bien supérieur ces trois types de canons s'avérent difficile à combattre. Leurs bombardements frappèrent si fort l'imagination de la population que la presse et la littérature populaire s'en emparèrent pour en faire des canons fantômes et entrentenir du même coup la confusion avec les "Bertha. | Légende : Crépy-en-Laonois (02) Emplacement à longue portée dit "Bertha" qui a tiré sur Paris. ..........Collection R.Gautier |
Invité- Invité
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|